Recyclage et déchets
Posté : 23 oct. 2022 14:59
RECYCLAGE ET DÉCHETS
Valorisation et nationalisation de l’industrie du recyclage
Le Québec traverse une importante crise dans le domaine du recyclage provoqué par le refus de la Chine d’accepter notre papier et carton. Le principal facteur contribuant à cette crise est le manque de capacité locale pour traiter les déchets. Ce manque d’infrastructures fait en sorte que nous ne sommes aucunement capables de valoriser ou d’exploiter notre propre recyclage.
Pour remédier à la situation, le Parti Vert du Québec appuie de grands investissements publics dans les infrastructures de recyclage afin de favoriser l’économie circulaire, les emplois locaux et une politique environnementale responsable. Notre but sera d’éliminer complètement l’exportation et l’enfouissement des matières recyclables. Pour ce faire, le Parti Vert du Québec nationalisera l’industrie du recyclage québécois et mettra en place une écotaxe sur certains matériaux industriels. De plus,un système de consigne sera mis en place pour inciter la population à réduire la quantité de déchets tout en finançant l’industrie du recyclage. Un nouveau système de tri plus complexe sera créé pour séparer les différents
matériaux recyclables et éviter les souillures qui rendent certains matériaux non recyclables ou plus difficilement recyclables. Nous investirons dans l’industrie du recyclage autant dans le nord du Québec que dans le sud, tout en améliorant nos capacités de recyclage des déchets textiles, qui sont actuellement enfouis ou envoyés à l’étranger.
Réduire la consommation et mieux recycler avec l’écotaxe
Bien que le Québec impose déjà une écotaxe sur certains produits tels que les électroniques, les montants ne sont pas suffisants pour encourager l’achat de produits plus durables ou de financer adéquatement leur recyclage complet suite à l’utilisation. Pour ces raisons, le Parti Vert du Québec propose d’étaler le nombre de produits assujettis à l’écotaxe et d’augmenter l’importance de cette taxe.
Consigne
Le dossier des consignes est délicat, plusieurs poussent pour son abolition pure et simple. Au Parti Vert du Québec nous croyons que non seulement ce système doit être maintenu, mais il doit même être étendu. Il est important de mentionner que la consigne représente une source de revenus importants pour plusieurs personnes à faibles revenus et itinérantes: leur retirer ce revenu serait une grave erreur. Nous souhaitons incorporer plus de produits à la consigne dont l’ensemble des bouteilles vendues au Québec. Un gouvernement Vert augmentera d’abord la consigne actuelle à 50 sous, afin de rendre le recyclage plus efficace et les revenus plus intéressants. Nous souhaitons également augmenter davantage la consigne sur les bouteilles de vin et les spiritueux et l’introduire le plus rapidement possible, avec une consigne de 1 dollar la bouteille vendue. En somme, moderniser les centres de tri existants pour rendre le processus plus efficace et financer la recherche pour trouver de nouveaux débouchés et des façons de maximiser le recyclage du verre.
Politique de lutte contre le plastique et les objets à usage unique
Chaque année, nous consommons des milliards de tasses de café, de pailles, de sacs en plastique, d’assiettes jetables ainsi que d’ustensiles à usage unique. Les tasses réutilisables sont répandues, mais les consommateurs ne sont pas nombreux à les utiliser et les inconvénients et enjeux systémiques limitent leur utilisation par toute la population québécoise.
Pour contrer la consommation d’objets à usage unique et pour adresser les inconvénients systémiques que cela représente.
Le Parti Vert du Québec propose:
Pour lutter efficacement contre le plastique, il faut également s’attaquer au suremballage qui représente l’une des plus grandes sources de pollution plastique. Il est important d’agir contre ce plastique qui est non seulement inutile, mais qui se retrouve généralement dans les océans et dans notre eau potable, ce qui représente une menace directe pour la santé des Québécois-es.
Pour lutter efficacement contre ce plastique, le PVQ propose de:
Pour ce faire, nous préconisons :
Le Parti Vert du Québec propose de permettre aux magasins d’entreposer leurs produits directement dans l’entrepôt de Poste Canada pour permettre aux petites entreprises d’avoir accès à la logistique du commerce en ligne ultra rapide et de concurrencer de grandes compagnies de distribution telles qu’Amazon. Cela permettra également de standardiser les méthodes d’emballage pour réduire les déchets inutiles plus efficacement.
Obsolescence programmée
L’un des grands problèmes avec notre système de consommation actuel est la qualité et la durée de vie des produits. Plusieurs compagnies, notamment celles produisant des produits électroniques, conçoivent leurs marchandises en limitant volontairement leur durée de vie ou en empêchant toute réparation. Cette pratique force les consommateurs à remplacer plus fréquemment leurs biens, augmente la quantité de déchets produits et contribue à la pollution de diverses façons.
Pour lutter contre cette pratique, le Parti Vert du Québec propose de:
Gestion des matières résiduelles
Les déchets organiques représentent un énorme potentiel énergétique au Québec. Un gouvernement Vert rendra la collecte de matières organiques obligatoire pour l’ensemble des résidents. Ces déchets seront valorisés à travers des infrastructures de bio méthanisation construites localement et qui demeurent de la propriété publique. Une partie sera également utilisée pour les projets de jardins/agriculture locale/urbaine et pour le projet de serriculture national. Le biogaz généré par les déchets organiques est interchangeable avec le gaz naturel et pourra être utilisé pour remplacer des énergies fossiles dans le transport routier lourd et même pour quelques automobiles munies de l’équipement nécessaire. La mise en place des technologies de biométhanisation permettra à la fois de capter les émissions de méthane (un gaz à effet de serre quatre fois plus puissant que le CO2) tout en réduisant notre consommation d’énergies fossiles. Le Québec a tout à gagner en investissant dans la valorisation des matières organiques.
Investissement massif dans la biogazéification des eaux usées
Au Québec, la quasi-totalité des centres de traitement d’eaux usées brûle des énergies fossiles pour incinérer les boues des eaux usées. Cette façon de faire est tout simplement obsolète. Les nouvelles technologies qui sont privées et déjà en place dans de nombreuses villes permettent aux centres de traitements de générer de l’énergie renouvelable et de l’engrais qui peuvent ensuite être utilisés pour l’agriculture. Le Parti Vert du Québec appuie un programme massif de valorisation des eaux usées à travers le Québec.
Capter et valoriser les émissions des sites d’enfouissement existantes
Les sites d’enfouissement existants contiennent de grandes quantités de matières organiques qui émettent du méthane; un gaz à effet de serre quatre fois plus puissant que le CO2. À Lachute, Québec, les émissions sont captées et valorisées. Le Parti Vert du Québec appuie l’étalement de cette technologie à l’ensemble des sites d’enfouissement existants au Québec où le potentiel de gaz est élevé.
Prise en charge des sites contaminés
À travers le Québec, des milliers de sites contaminés sont abandonnés. Ces sites émettent des toxines dans l’eau souterraine, dans l’air et se propage dans la nature au détriment des écosystèmes. Certains polluants restent dans l’environnement pendant des centaines, voire des milliers d’années. À l’heure actuelle, les propriétaires des sites sont réticents à investir les sommes nécessaires pour décontaminer et le gouvernement provincial finance rarement des efforts de décontamination, et ce, peu importe les circonstances ou l’ampleur de la menace sur l’environnement. Ces circonstances font en sorte que les prochaines générations en subiront les conséquences. Cela représente une source d’iniquité intergénérationnelle qui doit être adressée le plus rapidement possible. Certaines études évaluent la part de la dette écologique reliée aux sols contaminés du Québec au-dessus de 3 milliards de dollars. Le financement de la prise en charge des sols contaminés devrait être partagé par les propriétaires des sites, des compagnies concernées (s’ils existent encore) et l’État en dernier recours. Cependant, des litiges quant aux partages des coûts ne doivent pas ralentir les efforts de décontamination qui pourront procéder même si une entente n’est pas conclue entre les partis concernés avant le début des travaux.
Source — Transition écologique et environnement | 2022 | P.15-19 Programme [PVQ].
Valorisation et nationalisation de l’industrie du recyclage
Le Québec traverse une importante crise dans le domaine du recyclage provoqué par le refus de la Chine d’accepter notre papier et carton. Le principal facteur contribuant à cette crise est le manque de capacité locale pour traiter les déchets. Ce manque d’infrastructures fait en sorte que nous ne sommes aucunement capables de valoriser ou d’exploiter notre propre recyclage.
Pour remédier à la situation, le Parti Vert du Québec appuie de grands investissements publics dans les infrastructures de recyclage afin de favoriser l’économie circulaire, les emplois locaux et une politique environnementale responsable. Notre but sera d’éliminer complètement l’exportation et l’enfouissement des matières recyclables. Pour ce faire, le Parti Vert du Québec nationalisera l’industrie du recyclage québécois et mettra en place une écotaxe sur certains matériaux industriels. De plus,un système de consigne sera mis en place pour inciter la population à réduire la quantité de déchets tout en finançant l’industrie du recyclage. Un nouveau système de tri plus complexe sera créé pour séparer les différents
matériaux recyclables et éviter les souillures qui rendent certains matériaux non recyclables ou plus difficilement recyclables. Nous investirons dans l’industrie du recyclage autant dans le nord du Québec que dans le sud, tout en améliorant nos capacités de recyclage des déchets textiles, qui sont actuellement enfouis ou envoyés à l’étranger.
Réduire la consommation et mieux recycler avec l’écotaxe
Bien que le Québec impose déjà une écotaxe sur certains produits tels que les électroniques, les montants ne sont pas suffisants pour encourager l’achat de produits plus durables ou de financer adéquatement leur recyclage complet suite à l’utilisation. Pour ces raisons, le Parti Vert du Québec propose d’étaler le nombre de produits assujettis à l’écotaxe et d’augmenter l’importance de cette taxe.
Consigne
Le dossier des consignes est délicat, plusieurs poussent pour son abolition pure et simple. Au Parti Vert du Québec nous croyons que non seulement ce système doit être maintenu, mais il doit même être étendu. Il est important de mentionner que la consigne représente une source de revenus importants pour plusieurs personnes à faibles revenus et itinérantes: leur retirer ce revenu serait une grave erreur. Nous souhaitons incorporer plus de produits à la consigne dont l’ensemble des bouteilles vendues au Québec. Un gouvernement Vert augmentera d’abord la consigne actuelle à 50 sous, afin de rendre le recyclage plus efficace et les revenus plus intéressants. Nous souhaitons également augmenter davantage la consigne sur les bouteilles de vin et les spiritueux et l’introduire le plus rapidement possible, avec une consigne de 1 dollar la bouteille vendue. En somme, moderniser les centres de tri existants pour rendre le processus plus efficace et financer la recherche pour trouver de nouveaux débouchés et des façons de maximiser le recyclage du verre.
Politique de lutte contre le plastique et les objets à usage unique
Chaque année, nous consommons des milliards de tasses de café, de pailles, de sacs en plastique, d’assiettes jetables ainsi que d’ustensiles à usage unique. Les tasses réutilisables sont répandues, mais les consommateurs ne sont pas nombreux à les utiliser et les inconvénients et enjeux systémiques limitent leur utilisation par toute la population québécoise.
Pour contrer la consommation d’objets à usage unique et pour adresser les inconvénients systémiques que cela représente.
Le Parti Vert du Québec propose:
- • De bannir les pailles, les sacs en plastique, les ustensiles ainsi que les tasses à usage unique. Les tasses à usage unique seront remplacées par une tasse universelle réutilisable en s’appuyant sur un programme de dépôt-échange. Les tasses universelles seront aussi échangeables sur un système de consigne et ce peu importe la chaîne de restauration ou le petit café que le consommateur fréquente. Les restaurants seront chargés de nettoyer les tasses et de les distribuer aux clients. De plus, un programme semblable sera mis en place pour certains contenants d’épicerie et les repas pour emporter. L’interdiction éliminerait des milliers de tonnes de plastique et de déchets de nos sites d’enfouissement, des cours d’eau et des océans.
Pour lutter efficacement contre le plastique, il faut également s’attaquer au suremballage qui représente l’une des plus grandes sources de pollution plastique. Il est important d’agir contre ce plastique qui est non seulement inutile, mais qui se retrouve généralement dans les océans et dans notre eau potable, ce qui représente une menace directe pour la santé des Québécois-es.
Pour lutter efficacement contre ce plastique, le PVQ propose de:
- • Instaurer une réglementation quant à l’emballage, afin de limiter celui-ci au maximum, tout en respectant les principes de salubrité et d’hygiène.
• Encourager le développement et la transition vers des « commerces en vrac ».
• Remplacer le plastique par du papier dans la mesure du possible.
• Abolition entière des sacs de plastique à l’échelle de la province.
• Instaurer une taxe sur le suremballage Les solutions au suremballage Le commerce en ligne étant en pleine expansion, le Parti Vert du Québec souhaite s’attaquer au suremballage des produits livrés, particulièrement par les géants du commerce en ligne.
Pour ce faire, nous préconisons :
- • Une taxe selon le poids de l’emballage pour pousser les entreprises privées à réduire le plus possible l’emballage inutile qui se retrouve dans leurs produits.
• Réglementer le pourcentage maximum d’espace vide autorisé dans l’emballage d’un produit.
• Imposer aux entreprises opérant au Québec d’envoyer les produits ensemble et non plus en de multiples boîtes ou commandes.
• Rendre obligatoire l’utilisation de matériaux d’emballages biodégradables, incluant les coussins de protection qui sont habituellement mis dans les colis.
• Appliquer la TVQ sur toutes les plateformes d’achats en ligne.
Le Parti Vert du Québec propose de permettre aux magasins d’entreposer leurs produits directement dans l’entrepôt de Poste Canada pour permettre aux petites entreprises d’avoir accès à la logistique du commerce en ligne ultra rapide et de concurrencer de grandes compagnies de distribution telles qu’Amazon. Cela permettra également de standardiser les méthodes d’emballage pour réduire les déchets inutiles plus efficacement.
Obsolescence programmée
L’un des grands problèmes avec notre système de consommation actuel est la qualité et la durée de vie des produits. Plusieurs compagnies, notamment celles produisant des produits électroniques, conçoivent leurs marchandises en limitant volontairement leur durée de vie ou en empêchant toute réparation. Cette pratique force les consommateurs à remplacer plus fréquemment leurs biens, augmente la quantité de déchets produits et contribue à la pollution de diverses façons.
Pour lutter contre cette pratique, le Parti Vert du Québec propose de:
- • Finir avec les petits électroménagers jetables en étendant progressivement à dix ans la garantie sur la quasi-totalité de ces produits, en se penchant autant sur leur conception que sur la disponibilité des pièces de rechange. Il s’agit de concevoir des objets modulaires composés de sous-ensembles aisément démontables et échangeables.
• Adopter des critères de résistance minimum couvrant entre autres la robustesse, la réparabilité et l’évolutivité pour chaque catégorie de produits dès leur conception.
• Valoriser la réparation plutôt que l’échange.
• Inciter l’étiquetage volontaire des produits (durée de vie) en l’érigeant en avantage concurrentiel pour les entreprises.
• Prendre des mesures d’incitations financières en réduisant de 50 % la TVQ sur les réparations de vêtements, des appareils électriques et électroniques afin de mettre fin à un système dans lequel la réparation d’un produit en panne coûte plus cher que l’achat d’un modèle neuf à bas prix.
• La création d’un délit d’obsolescence programmée
• Adopter une prise de chargeur universel pour les téléphones mobiles
• Contribuer à la lutte internationale contre l’obsolescence programmée en renforçant la réglementation
- • Imposer la réversibilité des mises à jour des systèmes d’exploitation.
• Allonger la durée de garantie légale de 1 à 4 ans pour les téléphones portables, et améliorer l’information des consommateurs sur son existence et son contenu.
• Faire payer davantage le fait de rendre les batteries inamovibles pour en dissuader la pratique, via notamment l’éco-participation.
Gestion des matières résiduelles
Les déchets organiques représentent un énorme potentiel énergétique au Québec. Un gouvernement Vert rendra la collecte de matières organiques obligatoire pour l’ensemble des résidents. Ces déchets seront valorisés à travers des infrastructures de bio méthanisation construites localement et qui demeurent de la propriété publique. Une partie sera également utilisée pour les projets de jardins/agriculture locale/urbaine et pour le projet de serriculture national. Le biogaz généré par les déchets organiques est interchangeable avec le gaz naturel et pourra être utilisé pour remplacer des énergies fossiles dans le transport routier lourd et même pour quelques automobiles munies de l’équipement nécessaire. La mise en place des technologies de biométhanisation permettra à la fois de capter les émissions de méthane (un gaz à effet de serre quatre fois plus puissant que le CO2) tout en réduisant notre consommation d’énergies fossiles. Le Québec a tout à gagner en investissant dans la valorisation des matières organiques.
Investissement massif dans la biogazéification des eaux usées
Au Québec, la quasi-totalité des centres de traitement d’eaux usées brûle des énergies fossiles pour incinérer les boues des eaux usées. Cette façon de faire est tout simplement obsolète. Les nouvelles technologies qui sont privées et déjà en place dans de nombreuses villes permettent aux centres de traitements de générer de l’énergie renouvelable et de l’engrais qui peuvent ensuite être utilisés pour l’agriculture. Le Parti Vert du Québec appuie un programme massif de valorisation des eaux usées à travers le Québec.
Capter et valoriser les émissions des sites d’enfouissement existantes
Les sites d’enfouissement existants contiennent de grandes quantités de matières organiques qui émettent du méthane; un gaz à effet de serre quatre fois plus puissant que le CO2. À Lachute, Québec, les émissions sont captées et valorisées. Le Parti Vert du Québec appuie l’étalement de cette technologie à l’ensemble des sites d’enfouissement existants au Québec où le potentiel de gaz est élevé.
Prise en charge des sites contaminés
À travers le Québec, des milliers de sites contaminés sont abandonnés. Ces sites émettent des toxines dans l’eau souterraine, dans l’air et se propage dans la nature au détriment des écosystèmes. Certains polluants restent dans l’environnement pendant des centaines, voire des milliers d’années. À l’heure actuelle, les propriétaires des sites sont réticents à investir les sommes nécessaires pour décontaminer et le gouvernement provincial finance rarement des efforts de décontamination, et ce, peu importe les circonstances ou l’ampleur de la menace sur l’environnement. Ces circonstances font en sorte que les prochaines générations en subiront les conséquences. Cela représente une source d’iniquité intergénérationnelle qui doit être adressée le plus rapidement possible. Certaines études évaluent la part de la dette écologique reliée aux sols contaminés du Québec au-dessus de 3 milliards de dollars. Le financement de la prise en charge des sols contaminés devrait être partagé par les propriétaires des sites, des compagnies concernées (s’ils existent encore) et l’État en dernier recours. Cependant, des litiges quant aux partages des coûts ne doivent pas ralentir les efforts de décontamination qui pourront procéder même si une entente n’est pas conclue entre les partis concernés avant le début des travaux.
Source — Transition écologique et environnement | 2022 | P.15-19 Programme [PVQ].