Personnes vivant avec un handicap ou le spectre de l’autisme
Posté : 21 oct. 2022 09:55
PERSONNES VIVANT AVEC UN HANDICAP OU LE SPECTRE DE L’AUTISME
Les personnes vivant avec un handicap ou un spectre de l’autisme doivent conjuguer diverses difficultés dans leur quotidien, notamment l’accompagnement à l’école, la transition post-scolarisation et le logement. Nous souhaitons offrir à ces personnes le plus de chances de s’épanouir au maximum. Bien que les Québécoises et Québécois aient démontré beaucoup d’ouverture au cours des dernières années, il reste du chemin à faire.
Tout d’abord, nous croyons qu’il faut assurer une meilleure adaptation de l’appareil gouvernemental pour être en mesure de prendre des décisions plus concertées. Plusieurs ministères se partagent des responsabilités qui affectent ces personnes au jour le jour. Nous souhaitons créer un Secrétariat aux personnes vivant avec un handicap ou le spectre de l’autisme – tel qu’il en existe déjà pour d’autres secteurs, par exemple les Affaires autochtones et la Jeunesse – pour lequel serait nommé un ministre responsable. En plus de permettre une meilleure coordination des différents services gouvernementaux offerts aux personnes handicapées, une telle entité leur procurerait une réelle voix au Conseil des ministres, ce qui serait une belle avancée.
Ensuite, il faut s’assurer d’une meilleure transition entre l’enfance et la vie adulte. La députée Jennifer Maccarone a demandé à de nombreuses reprises, au cours des quatre dernières années, la tenue d’une commission parlementaire pour se pencher sur la question. Malgré le soutien du milieu, le gouvernement n’a pas donné suite à cette demande. Dans les 100 premiers jours d’un gouvernement libéral, nous mettrons en place une commission d’experts et de parlementaires afin d’établir collectivement une feuille de route qui nous permettra de mieux soutenir ces jeunes dans leur transition vers l’âge adulte, jusqu’à l’âge d’or. Cette commission aura un mandat de consultations et de recommandations.
Finalement, nous nous engageons à mettre en place une carte d’identité avec photo officielle pour les personnes ne détenant pas de permis de conduire. Puisque de nombreuses personnes vivant avec un handicap ou le spectre de l’autisme ne sont pas titulaires d’un permis de conduire, il arrive que, dans certaines circonstances, celles-ci éprouvent des difficultés à s’identifier. Le Québec est la seule province à ne pas offrir ce type de carte d’identité personnelle, qui serait aussi très utile pour plusieurs aînés.
Source — Familles | handicap, P.53-54 Le livre libéral .
Les personnes vivant avec un handicap ou un spectre de l’autisme doivent conjuguer diverses difficultés dans leur quotidien, notamment l’accompagnement à l’école, la transition post-scolarisation et le logement. Nous souhaitons offrir à ces personnes le plus de chances de s’épanouir au maximum. Bien que les Québécoises et Québécois aient démontré beaucoup d’ouverture au cours des dernières années, il reste du chemin à faire.
Tout d’abord, nous croyons qu’il faut assurer une meilleure adaptation de l’appareil gouvernemental pour être en mesure de prendre des décisions plus concertées. Plusieurs ministères se partagent des responsabilités qui affectent ces personnes au jour le jour. Nous souhaitons créer un Secrétariat aux personnes vivant avec un handicap ou le spectre de l’autisme – tel qu’il en existe déjà pour d’autres secteurs, par exemple les Affaires autochtones et la Jeunesse – pour lequel serait nommé un ministre responsable. En plus de permettre une meilleure coordination des différents services gouvernementaux offerts aux personnes handicapées, une telle entité leur procurerait une réelle voix au Conseil des ministres, ce qui serait une belle avancée.
Ensuite, il faut s’assurer d’une meilleure transition entre l’enfance et la vie adulte. La députée Jennifer Maccarone a demandé à de nombreuses reprises, au cours des quatre dernières années, la tenue d’une commission parlementaire pour se pencher sur la question. Malgré le soutien du milieu, le gouvernement n’a pas donné suite à cette demande. Dans les 100 premiers jours d’un gouvernement libéral, nous mettrons en place une commission d’experts et de parlementaires afin d’établir collectivement une feuille de route qui nous permettra de mieux soutenir ces jeunes dans leur transition vers l’âge adulte, jusqu’à l’âge d’or. Cette commission aura un mandat de consultations et de recommandations.
- «Le Secrétariat devra développer un
nouveau programme de stages accompagné
de subventions salariales.»
Finalement, nous nous engageons à mettre en place une carte d’identité avec photo officielle pour les personnes ne détenant pas de permis de conduire. Puisque de nombreuses personnes vivant avec un handicap ou le spectre de l’autisme ne sont pas titulaires d’un permis de conduire, il arrive que, dans certaines circonstances, celles-ci éprouvent des difficultés à s’identifier. Le Québec est la seule province à ne pas offrir ce type de carte d’identité personnelle, qui serait aussi très utile pour plusieurs aînés.
Source — Familles | handicap, P.53-54 Le livre libéral .