Santé mentale
Posté : 20 oct. 2022 22:45
SANTÉ MENTALE
Collectivement, nous avons trop longtemps évité de parler de santé mentale. Les tabous persistent et la santé mentale n’a pas été considérée comme elle aurait dû l’être par la société. Bien que des initiatives aient vu le jour depuis quelques années, il reste beaucoup de chemin à parcourir, considérant qu’environ 20000 personnes sont encore en attente de soins en santé mentale.
Force est de constater que la pandémie de la COVID-19 a contribué à augmenter la détresse psychologique et les enjeux de santé mentale de manière plus globale. Le Québec en saisira le plein impact dans les prochaines années, mais, en raison des listes d’attente qui s’allongent, des coûts importants des services au privé et des difficultés de recrutement de la main-d’œuvre, nous nous retrouvons à la croisée des chemins. Il faut éviter que la pandémie de la COVID-19 soit suivie d’une crise en santé mentale. Ainsi, un gouvernement libéral :
Source — Santé et services sociaux | Santé mentale, P.33-34 Le livre libéral .
Collectivement, nous avons trop longtemps évité de parler de santé mentale. Les tabous persistent et la santé mentale n’a pas été considérée comme elle aurait dû l’être par la société. Bien que des initiatives aient vu le jour depuis quelques années, il reste beaucoup de chemin à parcourir, considérant qu’environ 20000 personnes sont encore en attente de soins en santé mentale.
Force est de constater que la pandémie de la COVID-19 a contribué à augmenter la détresse psychologique et les enjeux de santé mentale de manière plus globale. Le Québec en saisira le plein impact dans les prochaines années, mais, en raison des listes d’attente qui s’allongent, des coûts importants des services au privé et des difficultés de recrutement de la main-d’œuvre, nous nous retrouvons à la croisée des chemins. Il faut éviter que la pandémie de la COVID-19 soit suivie d’une crise en santé mentale. Ainsi, un gouvernement libéral :
- • mettra en place un programme public de psychothérapiepour assurer un accès universel;
• fera en sorte de mieux mettre à profit les travailleuses et travailleurs des CLSC dans la mise en place des solutions en matière de santé mentale;
• s’assurera d’un meilleur financement des organismes communautaires qui œuvrent en santé mentale;
• entreprendra un plan d’urgence de sensibilisation sur les médias sociaux et traditionnels afin de faire la promotion de mesures positives, des mesures de prévention et des différentes options qui s’offrent à la population en cas de besoins.
Source — Santé et services sociaux | Santé mentale, P.33-34 Le livre libéral .