Nos valeurs sur la famille et le logement

Mieux soutenir les familles et encourager la natalité, les aînés et leurs aidants naturels. Pour une fixation de loyer profitable à toutes les parties.
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Parti Conservateur

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Nos valeurs sur la famille et le logement

Ecrit le 14 oct. 2022 11:51

Message par Parti Conservateur »

3.1 NOS VALEURS SUR LA FAMILLE
  • La famille est l’institution primordiale de notre société et constitue une pièce maîtresse dans la réussite des jeunes et dans leur cheminement vers l’autonomie personnelle,

    L’État doit soutenir directement les parents et la famille lorsque cela est possible, plutôt que de subventionner des services uniformisés, afin de favoriser un marché des services plus apte à répondre efficacement et rapidement aux besoins exprimés par les familles.

    Il est essentiel de redonner aux parents la liberté de choix dans les services éducatifs et de garde pour la petite enfance.

    Lorsque, pour diverses raisons, les familles peinent à fournir le soutien physique et moral dont les enfants ont besoin au quotidien (incluant leur vie scolaire), le gouvernement doit soutenir et financer des solutions pour pallier cette situation et favoriser l’épanouissement des enfants,

    Le gouvernement doit faciliter le processus d’adoption pour les enfants qui n’ont plus de famille.
Source 3.1 nos valeurs sur la famille, PCQ - famille et logement.

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Liberté 22 — Partie 3 — La famille avec Jacinthe-Eve Arel
Éric Duhaime rencontre Jacinthe-Eve Arel, candidate dans le comté de Portneuf, pour parler de la famille et des valeurs du Parti conservateur du Québec.Éric Duhaime - Chaîne officielle .


3.3 NOS VALEURS SUR LE LOGEMENT

L’approche du Parti conservateur du Québec est différente de celle des vieux partis. Pour le PCQ, le marché est un levier et non pas un obstacle. En libéralisant le marché, la construction de logements à loyers modérés s’accélérera. Il n’y a pas de crise du logement, mais des blocages dans la mise sur le marché de nouveaux logements à des prix raisonnables, qui sont causés par une réglementation abusive.
La seule approche viable est de favoriser une amélioration du marché par une augmentation de l’offre de logement. Il faut donc rendre l’investissement dans les immeubles locatifs plus rentable que les autres alternatives de placement.

Ce n’est pas le rôle du propriétaire de faire de l’aide sociale pour favoriser des logements abordables. L’État peut s’en charger pour les plus démunis, mais doit cesser de faire des interventions qui pénalisent l’ensemble du système, étouffent le marché et créent des pénuries.
Le PCQ croit que le droit au maintien dans les lieux des locataires doit être préservé, sauf pour certaines exceptions déjà prévues par la loi. Bien que nous croyions que le bail doit être un contrat libre et que chaque partie devrait idéalement être libre de le rompre, il est vrai qu’il existe une « imperfection de marché » pour les locataires, étant donné qu’on ne quitte pas un logement aussi facilement que si on choisissait un autre article de consommation comme des vêtements ou un restaurant.

Les vieux partis déplorent les difficultés actuelles, mais font semblant de ne pas en connaître les causes qui tiennent à un environnement réglementaire contre-productif. Leur vision opportuniste a produit un marché raréfié en logements abordables. Le pouvoir politique a toujours préféré limiter un marché libre et créateur de logements pour lui préférer des mesures électoralistes à courte vue, en faisant semblant de « protéger » les locataires contre les aléas du marché.

Un contrôle excessif des loyers fait des perdants chez les propriétaires qui ne peuvent rentabiliser leur investissement, mais aussi chez une partie des locataires. En effet, les locataires qui ont un logement dont le prix est inférieur au prix du marché hésiteront avant de déménager, ce qui ne libère pas ces loyers pour d’autres locataires qui pourraient se le payer.

Si les barèmes de fixation de loyer étaient moins restrictifs, l’investissement dans le marché locatif augmenterait à 66 % (de 3 G$ à 5 G$). Les logements seraient en meilleur état, plus sécuritaires, et bénéficieraient d’une efficacité énergétique accrue.

Le logement dit « social » et subventionné n’est pas une solution pour résoudre tous les problèmes. Ce type d’habitation ne règle pas les problèmes rencontrés par le locataire moyen. Il représente cependant une solution pour les gens qui ont des problèmes particuliers auxquels le marché ne répond pas adéquatement : incapacités motrices, santé mentale fragile, toxicomanie, familles très nombreuses et incapacité de travail. Pour tous les autres, il est préférable de les aider directement par l’intermédiaire des programmes existants d’allocation-logement ou de supplément au loyer.

L’État est un propriétaire éloigné du terrain qui manque d’incitatifs pour entretenir correctement les HLM. On doit aider les gens qui ont des problèmes particuliers, mais il vaut mieux le faire par des allocations ciblées que de subventionner le béton. Les locataires en difficulté qui cherchent un logement pourront ainsi choisir plus facilement le milieu de vie qui leur convient. Cela leur évitera aussi d’attendre des années sur des listes de gens admissibles et d’être servis après ceux qui ont des passe-droits. — Source 3.3 nos valeurs sur le logement, PCQ - famille et logement.

  • Ce n’est pas le logement qui est en crise, c’est un modèle réglementaire désuet et inefficace que personne n’a envie de copier ailleurs. Il faut lever les blocages causés par une réglementation trop lourde et favoriser la mise sur le marché de nouveaux logements à des prix raisonnables. [..]

    Il faut rétablir l’équilibre en rendant l’investissement dans les immeubles locatifs compétitif avec les autres alternatives de placement tout en apportant une aide aux locataires démunis par le programme Allocation-logement.

    Source extrait — libérer l’investissement pour offrir des logements abordables, Plateforme Liberté 22 p,18.


SAVIEZ-VOUS QUE...
[..] L’amortissement des travaux majeurs selon le calcul du Tribunal administratif du logement permettait en 1985 de récupérer son investissement en 7,5 ans; une lente détérioration depuis 35 ans nous amène à une récupération de l’investissement en 2021 à 43 ans d’attente. Cela entraîne un désintérêt pour rénover ou même entretenir les logements.

Les petits propriétaires, majoritaires au Québec, craignent le Tribunal du logement et se retiennent de proposer des augmentations qui vont au-delà des faibles hausses recommandées par cette instance. Ils ne veulent surtout pas aller devant le Tribunal : ils n’ont pas d’avocats ni de temps à perdre. Source extrait — libérer l’investissement pour offrir des logements abordables, Plateforme Liberté 22 p,19.

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Duhaime en direct - Le live du mardi 15 juin
Ce soir, on parle logement. Y a-t-il une crise? Comment améliorer l’offre de logements au Québec? J’en discute avec le directeur de la CORPIQ, Hans Brouillette.Éric Duhaime - Chaîne officielle .
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